Voici ceux qui ont enduré ma présence. Ils n'en sont pas tous sortis indemnes: je parle bien évidemment du regretté chat qui a tout de suite senti la rivale sommeillant en moi. Après une lutte, où la victoire a été très disputée, il s'est finalement incliné et a disparu dans les tréfonds de la maison pendant le reste du week-end.
C'est limite épique mais c'est presque ce qu'il s'est passé. Moi, normalement l'amie des bêtes (chiens exceptés), j'ai trouvé ce chat dangereux car il s'est jeté sur moi (dans les jambes, oui parfaitement) avec un espèce de hurlement (non pas miaulement, c'était presque humain), comme si je lui avais arraché les griffes.
Le chat n'a pas eu le droit au château, moi si!
Merci à Thierry pour la visite plus que détaillée et les commentaires historiques. Un historien était parmi nous, il nous a montré tout l'étendue de son savoir. Je me prosterne devant ta grandeur... d'esprit :)
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