Me voici à vous écrire d'Issoudun où je passe des jours paisibles... et pour cause, lorsque je me balade il est rare que je croise plus de deux vieux (plus de 70 ans pour fixer l'échelon) dans la journée.
Ne parlons pas des jeunes : moins de 50 ans (Thierry si tu lis ça, tu n'es pas tout à fait concerné) qui ne sont que des apparitions furtives. Bref, je crois bien avoir atteint les fins fonds de la campagne bérrichonne.
Saluons le progrès : même encerclée par les tracteurs, j'ai tout de même accès à Internet.
La Grand-Place en fleurs, voici pour moi la civilisation, voici pour moi la beauté à même la ville.
°°°'Pensées°'°° ... bien au-delà de l'Indre, bien au-delà de la France
PS : La pâte aux spéculoos, j'en use et j'en abuse :)
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